3 idées reçues qui plombent votre vision du consulting

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Article initialement publié dans la newsletter WizeCounsel sur Substack

Le mot consulting ou consultant  a été tellement galvaudé qu’on ne sait même plus ce qu’il signifie. Laissez-moi revenir un instant sur la genèse de ce métier, car oui, c’est un métier.

À l’origine, il s’agit d’un tiers de confiance. Quelqu’un qu’on appelle avant de prendre une décision engageante. Son rôle n’est pas de vendre une solution toute faite, mais d’éclairer un choix, d’aider à structurer une stratégie, ou d’éviter une erreur difficile à rattraper. Il n’a pas toutes les réponses, mais il sait poser les bonnes questions, sans affect, sans filtre, sans promesse magique.

Comme j’aime le dire, dans le consulting, il faut réfléchir avec la tête avant de ressentir avec le cœur

Vous l’aurez compris, le consultant n’est pas un coach.

Le problème, c’est que beaucoup d’entrepreneurs ignorent l’intérêt d’un tel accompagnement. Résultat : ils étouffent sous la complexité.

En 2025, ne pas se faire accompagner, c’est parfois le pire choix stratégique qu’on puisse faire et le hic, c’est qu’on s’en rend compte quand il est déjà trop tard.

1. Le conseillé n’est pas une dépense, c’est une économie de temps (et d’erreurs)

Un bon consultant n’est pas là pour faire “joli”.

Il est là pour vous accompagner, poser les bonnes questions, analyser méthodiquement la situation, et vous aider à mettre en place une nouvelle stratégie, celle qui vous permettra de sortir de l’impasse dans laquelle vous vous trouvez. Vous l’aurez compris : quand on structure correctement, tout devient plus simple et ce gain de clarté, il vaut bien plus que son coût.

2. L’expert n’est pas réservé aux grands groupes

C’est sûrement l’un des plus grands mythes. Beaucoup pensent qu’ils sont “trop petits” pour faire appel à un consultant. Pourtant : c’est justement quand vous êtes à vos débuts, en phase de structuration, qu’un regard extérieur, neutre, stratégique, devient décisif.

Pourquoi ? Parce que chaque erreur coûte plus cher, et qu’à ce stade, vous n’avez pas le droit à l’approximation.

3. Un bon consultant ne vend pas des solutions prêtes à l’emploi

Beaucoup d’entrepreneurs pensent qu’un consultant arrive avec une liasse de solutions toutes prêtes. C’est faux. Notre rôle, et c’est sans doute le plus important, commence par l’écoutel’analyse, et le cadrage.

Pas par un statut, un montage ou un plan fiscal. Mais par une compréhension claire de votre situation. Un bon consultant ne cherche pas à plaquer une méthode, il cherche à comprendre ce qui est pertinent pour vous.

Et ça… c’est ce que vous n’obtiendrez jamais dans un tutoriel ou un post viral.

Le consulting n’est peut-être pas tendance, mais il reste l’un des rares leviers capables d’apporter clarté, structure et direction quand tout vous semble flou.

Ne pas en avoir besoin, c’est une chance. En avoir besoin et l’ignorer… c’est un risque.

À un moment, il faut choisir : tâtonner seul, ou avancer avec un cap.

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